O quant’abbracci di ghjennaghju Chì principia una nova annata, Ma a Corsica face un paghju Ch’ella ùn hè tanta scambiata. Passanu ghjorni é settimane A pienghje lu tempu chi fù, Ma per custruì un dumane, E croce ci sò tant’é più. Di ferraghju hé grisgiu lu celu, E quandu lu ventu si leva N’ùn ci porta mancu un battellu, Ci serà torna un’antra greva ! E quand’ella vene a timpesta, A neve si mette à cascà, In li paesi nimu ùn resta, Manca l’elettricità. In l’ottanta dui, di marzu, Una vulintà pupulare Hà fattu un sonniu cusì falzu D’un stattutu particulare ; More ‘ssa sperenza putenta, Di dritta, di manca o d’altrò, Ma quale hè chì ci ripresenta ? Venduti, ladri è baullò… Sò natu Corsu è vai puru Qualchì volta mi sentu solu. U rè d’i coni, sò sicuru Ch’ellu ùn hè Tedescu o Spagnolu. Ti sì scurdatu di ‘ss’ aprile Chì parturì un certu Pasquale, E d’issa rivolta civile Chì li fece generale ; Fola a so vita hè diventata, Ma si spenghje la so memoria, Chì di Paoli a casata Assenta hè d’i libri di storia. Di maghju, in lu sessanta nove, Un ti scurdà di u macellu D’a battaglia di Ponte Novu E di lu so soffiu ribellu. U fiatu d’issi rivultati Dimmi ciò ch’ellu duvintò, Fatalisti simu firmati Techji di televisiò. Di ghjungnu quale si ramenta Quest’ora di tamantu dolu,
Combien de câlins en janvier Cela commence une nouvelle année, Mais la Corse fait la différence Qu'elle n'est pas tellement échangée. Les jours et les semaines passent Pour pleurer le moment venu, Mais pour construire un demain, Il y a tellement d'autres croix. Le ciel est gris en février, Et quand le vent se lève Il ne nous apporte même pas de bateau, Il y aura encore une autre grève ! Et quand la tempête arrive, La neige commence à tomber, Dans les villages il ne reste plus personne, Il n'y a pas d'électricité. En mars quatre-vingt-deux, Une volonté populaire Il a fait un rêve tellement faux D'un statut particulier ; Plus cet espoir puissant, A droite, à gauche ou ailleurs, Mais qui nous représente ? Vendus, voleurs et malles... Je suis né Corso et tu y vas aussi Parfois, je me sens seul. Le roi des cônes, j'en suis sûr Qu'il n'est ni allemand ni espagnol. Tu as oublié 'ss' avril Cela a donné naissance à un certain Pasquale, Et de cette révolte civile Cela le rendait général ; Fola, sa vie est devenue, Mais si sa mémoire disparaît, Celle de Paoli la maison L'absence appartient aux livres d'histoire.Mai, le soixante-neuvième, Tu oublies l'abattoir De la bataille de Ponte Novo Et de son souffle rebelle. Le souffle de ces rebelles, dis-moi ça qu'il est devenu Fatalistes nous sommes signés Technologie de télévision. De juin qui se souvient Cette heure de grand chagrin,
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